Liste des fonds mentionnant le nom «Vassan» : Document / 1
P224
Richard Kistabish - 2 photographies. - 1 document textuel.
Notice biographique :
Richard Kistabish naît dans une famille de dix enfants, le 19 octobre 1948, à La Tuque. Son père, né au Témiscamingue, à Notre-Dame-du-Nord, est un trappeur d'origine algonquine tandis que sa mère, d'origine crie, s'intègre à la culture algonquine suite à son mariage. Richard est envoyé au pensionnat amérindien dès son jeune âge. Après son 5e secondaire, il se dirige vers le Cégep du Vieux-Montréal où il étudie en administration. Il arrive à Val-d'Or au début des années 1970, où il travaille pour le ministère des Affaires indiennes, à titre de commis aux archives. C'est grâce à ce poste qu'il développe sa passion pour l'histoire et pour la culture des peuples autochtones. Richard Kistabish est par la suite élu membre du Conseil de bande d'Amos, puis nommé Grand Chef du Conseil algonquin du Québec. En 1973, avec l'aide du gouvernement québécois, de Jean Papatie et de Fred Kistabish, il met sur pied le premier Centre d'amitié autochtone de Val-d'Or. Il publie un manifeste intitulé « Aki » en 1986, qui semble à sa communauté controversé et lui vaut peu de reconnaissance. Ce manifeste n'en fut pas moins l'objet d'une parution intégrale dans le quotidien « La Presse » de Montréal. Richard a effectué un retour aux études à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, pour devenir enseignant. Il siège sur le Comité du Pavillon des Premières Nations à Val-d'Or. Il occupe le poste de vice-président de la Fondation autochtone de guérison. Son épouse, Monique Sioui, est décédée en 1997, après avoir été présidente de l'Association des femmes autochtones du Québec. Ils ont eu deux enfants : Wanaki et Ménowé.
Historique de la conservation :
Le fonds a été déposé à la Société d'histoire et de généalogie de Val-d'Or par Richard Kistabish le 29 mars 2001.
Portée et contenu :
Le fonds comprend deux photographies, une de la tour du Belvédère et l'autre de l'avion du Centre culturel, l'édition originale et trois copies du texte-manifeste de Richard Kistabish intitulé « Aki » et publié sous le pseudonyme de Ejinagosi.
Notes :
État de conservation :
Les documents sont bien conservés
Langue des documents :
Français
Emplacement des originaux :
Société d'histoire et de généalogie de Val-d'Or.
Restrictions :
Aucune restriction
Documents connexes :
Une courte biographie rédigée par Marie-Ève Perron et un document audio-visuel réalisé par Marie-Ève Perron au cours de l'été 2006.
Accès de provenance :
Kistabish, Richard
Accès de titre :
Kistabish, Richard
Numéro séquentiel : 10240
Richard Kistabish - 2 photographies. - 1 document textuel.
Notice biographique :
Richard Kistabish naît dans une famille de dix enfants, le 19 octobre 1948, à La Tuque. Son père, né au Témiscamingue, à Notre-Dame-du-Nord, est un trappeur d'origine algonquine tandis que sa mère, d'origine crie, s'intègre à la culture algonquine suite à son mariage. Richard est envoyé au pensionnat amérindien dès son jeune âge. Après son 5e secondaire, il se dirige vers le Cégep du Vieux-Montréal où il étudie en administration. Il arrive à Val-d'Or au début des années 1970, où il travaille pour le ministère des Affaires indiennes, à titre de commis aux archives. C'est grâce à ce poste qu'il développe sa passion pour l'histoire et pour la culture des peuples autochtones. Richard Kistabish est par la suite élu membre du Conseil de bande d'Amos, puis nommé Grand Chef du Conseil algonquin du Québec. En 1973, avec l'aide du gouvernement québécois, de Jean Papatie et de Fred Kistabish, il met sur pied le premier Centre d'amitié autochtone de Val-d'Or. Il publie un manifeste intitulé « Aki » en 1986, qui semble à sa communauté controversé et lui vaut peu de reconnaissance. Ce manifeste n'en fut pas moins l'objet d'une parution intégrale dans le quotidien « La Presse » de Montréal. Richard a effectué un retour aux études à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, pour devenir enseignant. Il siège sur le Comité du Pavillon des Premières Nations à Val-d'Or. Il occupe le poste de vice-président de la Fondation autochtone de guérison. Son épouse, Monique Sioui, est décédée en 1997, après avoir été présidente de l'Association des femmes autochtones du Québec. Ils ont eu deux enfants : Wanaki et Ménowé.
Historique de la conservation :
Le fonds a été déposé à la Société d'histoire et de généalogie de Val-d'Or par Richard Kistabish le 29 mars 2001.
Portée et contenu :
Le fonds comprend deux photographies, une de la tour du Belvédère et l'autre de l'avion du Centre culturel, l'édition originale et trois copies du texte-manifeste de Richard Kistabish intitulé « Aki » et publié sous le pseudonyme de Ejinagosi.
Notes :
État de conservation :
Les documents sont bien conservés
Langue des documents :
Français
Emplacement des originaux :
Société d'histoire et de généalogie de Val-d'Or.
Restrictions :
Aucune restriction
Documents connexes :
Une courte biographie rédigée par Marie-Ève Perron et un document audio-visuel réalisé par Marie-Ève Perron au cours de l'été 2006.
Accès de provenance :
Kistabish, Richard
Accès de titre :
Kistabish, Richard
Numéro séquentiel : 10240